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Violence d'état
EAN13
9791092016529
ISBN
979-10-92016-52-9
Éditeur
Jigal
Date de publication
Collection
JIGAL POLAR
Nombre de pages
264
Dimensions
21 x 14 cm
Poids
300 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Violence d'état

Jigal

Jigal Polar

Indisponible
« Et de ce marécage nauséabond de trafics et de guerres d’influence, émerge la figure d’un commandant de police terriblement humain… » The Big Blowdown.

Suite à un tragique accident survenu sur le périphérique lyonnais, le commandant Farel découvre un important stock de drogue et d’armes planqué dans un cercueil. En remontant la piste de ce qui semble être un trafic régulier, Farel fait sortir du bois une figure du grand banditisme local, un mafieux russe, des hommes de main en provenance des Balkans, une société de sécurité privée et un mystérieux Lupus… Mais au fil de l'enquête, c'est au plus haut sommet de l'État qu'apparaissent quelques personnages inattendus – officier d'état-major, flic à la retraite, énarque, directeur de cabinet – qui semblent, dans le plus grand secret, tirer les ficelles… Après avoir esquivé menaces, intimidations, attentats et autres coups bas, c'est dans un réel climat de guerre froide que Farel et son équipe vont devoir affronter cette étrange coalition !

Quand dans l’ombre du pouvoir, les serviteurs de l’État perdent le sens moral et la notion du devoir citoyen… Quand la rapacité les pousse au pire… Quand l’envers de la République dérape… Nucléaire, caisse noire, drogue, argent, cabinet noir… Tout y passe ! Violence d’État est le troisième roman d’André Blanc. Et pour avoir longtemps baigné dans le marigot politique – avec ses hommes de l’ombre, ses « affaires », ses silences, ses fantasmes, ses secrets, ses compromissions, ses coups bas et ses serviteurs (un peu trop) zélés qui oublient (un peu trop) souvent qu’ils sont censés être au service des citoyens et non pas à celui de leurs portefeuilles ou de leur idéaux… – André Blanc a acquis une connaissance active du terrain qui lui permet dans ce roman noir – toute ressemblance ne saurait bien sûr n’être que fortuite… – de dérouler une intrigue sombre associée à des méthodes de voyous, qu’ils soient ou non, en cols blancs. Évidemment, cela évoquera à certains quelques dossiers sensibles, ayant il y a peu, défrayé la chronique ! Ce qui est certain, c’est que l’homme est ainsi fait : le Pouvoir le rend fou… Alors secret d’État ? Dérive de la démocratie ? Politique internationale ? Ou simple bandits de grand chemin ? Farel, notre héros – un brin chevalier blanc, un brin sentimental mais opiniâtre et toujours légaliste – a le grand mérite dans ce roman très noir de nous rappeler que seule une vigilance permanente constitue une protection efficace contre toute tentative de dérive ! Et c’est avec un style diablement efficace qu’André Blanc nous embarque ici dans ce roman troublant de réalisme !
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Commentaires des lecteurs

Conseillé par
16 novembre 2015

J'ai déjà rencontré l'équipe du commandant Farel dans le roman précédent d'André Blanc, sobrement intitulé Farel. J'avais alors été surpris par le réalisme et la minutie des descriptions de l'auteur. C'est toujours le cas avec Violence d'état. L'intrigue est totalement ...

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