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    4 mars 2024

    famille, handicap

    J’ai tout de suite été intrigué par le « nous » de la narration. Concerne-t-il les jumeaux Kees et Klas de la fratrie ? Mais dans ce cas, pourquoi ne pas pouvoir identifier lequel des deux parle ?

    Mis à part cette question récurrente le temps de ma lecture, j’ai aimé l’ambiance de ce roman : un père et ses trois fils qui attendent le retour de la mère partie en Italie depuis quelques années et qui ne donne pas de nouvelle.

    J’ai aimé sentir le père Gerard un peu perdu, instaurant le rite du samedi pendant lequel ils lavent la voiture et mangent des crêpes.

    J’ai aimé le chien Daan dont le maitre est Gerson, le dernier garçon. Un garçon qui sait des tas de choses pour son âge.

    J’ai eu de la peine pour Gerson, mais j’ai aimé sa détermination tout au long du roman.

    J’ai aimé l’entendre parler dans certains chapitres.

    J’ai aimé l’écriture « de biais » : rien n’est décrit directement, tout est suggéré.

    L’image que je retiendrai :

    Celle du débat dans la voiture pour savoir si les fleurs de poiriers sont blanches ou roses.