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Mes cahiers rouges au temps de la commune, mémoires
EAN13
9782742714636
ISBN
978-2-7427-1463-6
Éditeur
Actes Sud
Date de publication
Collection
Babel
Nombre de pages
544
Dimensions
17,5 x 11 x 2,3 cm
Poids
350 g
Langue
français
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Mes cahiers rouges au temps de la commune

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En 1870, quand Napoléon III déclare la guerre à la Prusse. Maxime Vuillaume a vingt-cinq ans ; il est journaliste et ne cache pas son opposition à l'Empire. En mars 1871, il fonde avec deux associés un journal quotidien appelé Le Père Duchêne, en hommage aux placards de Hébert pendant la Révolution. La feuille quotidienne prend rapidement fait et cause pour les communards, et ne survit pas à l'insurrection qui est étouffée en mai 1871.

De l'enthousiasme des premiers jours à la répression sanglante des journées de mai, des barricades où l'on se bat aux greniers où l'on se cache, de la place Saint-Michel à l'exil en Suisse, Maxime Vuillaume raconte les multiples anecdotes et événements qui ont marqué sa vie de fédéré pendant la Commune.

Quarante ans après, il prend la plume pour livrer ses souvenirs et, grâce à eux, composer une toile impressionniste de la brève vie — soixante-douze jours — de la première révolution prolétarienne de notre temps. Il ne décrit pas la réalité, il la vit, et replonge presque malgré lui dans la belle ivresse qui a donné le jour à la Commune, dans cette euphorie pleine de gaieté, d'espoir et de liberté, qui devait conduire à la guerre civile.

Maxime Vuillaume est mort à l'hospice de Neuilly en 1926.
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