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Une cloche à ton cou
EAN13
9782371451254
ISBN
978-2-37145-125-4
Éditeur
Petit véhicule
Date de publication
Collection
L'OR DU TEMPS
Nombre de pages
139
Dimensions
21,4 x 21,9 x 1 cm
Poids
150 g
Langue
français
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Une cloche à ton cou

Petit véhicule

L'Or Du Temps

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Les poèmes d’Agim Vinca traduits par Alexandre Zotos ont leur poids de vie et d’expérience profonde. Agim Vinca sait ce que [c’est] d’être un poète libre, comme s’il avait fait sienne [la vérité] qu’affirmait le grand poète Robert Desnos : « Ce n’est pas la poésie qui est libre, mais le poète. » Être poète c’est être sémaphore dans la nuit des hommes et porter secours à la détresse de celles et de ceux qui marchent sur les routes de l’exil ou de l’exode… Ceux-là sont les « ambassadeurs du ciel ». Sa poésie est lumière fraternelle et proche de l’âme de son peuple, elle interroge sans concession avec l’esprit et le coeur ouverts à toutes modifications de ses pensées et de ses actes, pourvu qu’ils fortifient la liberté et volonté d’être au monde. Il scrute le sens du mot patrie et comment il peut rendre intelligible ce mot à son fils. Le poète vit parmi les hommes, mais il est ailleurs. La poésie d’Agim Vinca est une défense d’homme libre et se lève contre toute dictature. A travers ses beaux poèmes, il accueille l’histoire et le souffle de la poésie universelle. Comme si un Robert Desnos, un Guillaume Apollinaire, un Benjamin Fondane, un Charles d’Orléans, un Max Jacob le remerciaient du fond du coeur d’être là à faire du poète un homme libre. À la sinistre prison de Skopje, à Idrizova, répond, dans le magnifique poème Les peupliers de mon pays natal, ses frères. Le poète errant et vagabond se réconcilie avec le monde grâce à leur immobilité vivante et mouvante. Sa poésie est d’espérance. Pogradec semble un lieu de paradis à retrouver par tous les moyens concrets de locomotion, spirituel, métaphysique, naturel ou à bicyclette, comme devenir oiseau céleste. Ses métaphores sont percutantes et saisissantes. Son lyrisme est vibrant. Le poète est « un écuyer délirant, un Icare sans feuillet », un vagabond perpétuel dont la maison offre une table accueillante aux amis de passage. - Luc VidalSète, Festival des Voix de la Méditerranée, août 2015
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