Fondée en 1927, la librairie Richer met à la disposition de ses clients 95 ans de savoir-faire. Une surface de vente de 1200m2 qui propose un fonds riche en qualité et varié en nombre de références représentant toutes les spécialités de librairie.

Poste restante, Beyrouth, roman
EAN13
9782742782529
ISBN
978-2-7427-8252-9
Éditeur
Actes Sud
Date de publication
Collection
Babel
Nombre de pages
464
Dimensions
17,6 x 11 x 2,9 cm
Poids
330 g
Langue
français
Langue d'origine
arabe
Fiches UNIMARC
S'identifier

Poste restante, Beyrouth

roman

De

Traduit par ,

Actes Sud

Babel

Indisponible
Dans un Liban lacéré par les suites d'un conflit interminable, une jeune femme entame une correspondance fictive avec des destinataires réels ou imaginaires...

A travers ses lettres à son amie Hayat, expatriée et nostalgique, à sa grand-mère restée dans son village, aux hommes qu'elle a aimés - le combattant palestinien, l'écrivain exilé -, à son pays ou à la guerre et ses victimes, l'héroïne compose peu à peu, à la manière de Billie Holiday - l'une de ses "correspondantes" -, un blues doux-amer où la nostalgie d'un Sud Liban désormais gangrené par la drogue et la guerre entrelace son motif à celui d'une célébration passionnée de Beyrouth, naguère capitale de tous les possibles.

Douloureux, violent, sensuel, ce roman d'Hanan el-Cheikh confi rme la place qu'occupe dans la littérature arabe contemporaine cette voix féminine du Liban.

«
Née au Liban en 1945, dans une famille chiite du Sud, Hanan el-Cheikh vit aujourd'hui à Londres après avoir séjourné au Caire et dans les pays du Golfe. Son oeuvre, traduite en plusieurs langues, est disponible en France chez Actes Sud : »Histoire de Zahra« (Babel n° 378), »Femmes de sable et de myrrhe« (1992 ; Babel n° 137), »Poste restante Beyrouth« (1995), »Le Cimetière des rêves« (2000 ; Babel n° 535) et »Londres mon amour «(2002).»
S'identifier pour envoyer des commentaires.

Autres contributions de...

Plus d'informations sur Ḥanān al- Šayẖ
Plus d'informations sur Ǧamāl Šuḥayyid
Plus d'informations sur Michel Burési