- EAN13
- 9782863747186
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Mazarine)
- Date de publication
- 1979
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
La soixantaine venue, les enfants dispersés, Fannie et Pierre se retirent dans
leur province natale, entre Poitou et Charente. Ce livre débordant d'odeurs,
de bruits et de mots familiers, c'est d'abord l'histoire de leur retour au
village. Pour combler le vide béant de la retraite, ils interrogent les photos
sépias des albums de famille, et greffent des rosiers : mais il n'est pas
facile de retrouver ses traces, dans un monde qui a plus changé en soixante
ans - leurs soixante ans - que pendant les trois siècles précédents. C'est
pourtant dans ce paysage, où dormait leur enfance que, par-delà l'usure des
choses et des cœurs, ils se trouvent enfin en paix avec eux-mêmes. Nous
n'irons plus au bois est la chanson pudique et tendre du temps qui passe, la
chronique douce amère d'aujourd'hui et d'autrefois, traversée d'éclats de rire
et de grands rêves pour rien. Assise sur son banc de pierre, Marguerite
Gurgand accorde sa voix au frémissement des tilleuls en automne, et raconte la
vie. Et cette voix-là, en dehors de toutes les modes, ne s'oublie pas.
leur province natale, entre Poitou et Charente. Ce livre débordant d'odeurs,
de bruits et de mots familiers, c'est d'abord l'histoire de leur retour au
village. Pour combler le vide béant de la retraite, ils interrogent les photos
sépias des albums de famille, et greffent des rosiers : mais il n'est pas
facile de retrouver ses traces, dans un monde qui a plus changé en soixante
ans - leurs soixante ans - que pendant les trois siècles précédents. C'est
pourtant dans ce paysage, où dormait leur enfance que, par-delà l'usure des
choses et des cœurs, ils se trouvent enfin en paix avec eux-mêmes. Nous
n'irons plus au bois est la chanson pudique et tendre du temps qui passe, la
chronique douce amère d'aujourd'hui et d'autrefois, traversée d'éclats de rire
et de grands rêves pour rien. Assise sur son banc de pierre, Marguerite
Gurgand accorde sa voix au frémissement des tilleuls en automne, et raconte la
vie. Et cette voix-là, en dehors de toutes les modes, ne s'oublie pas.
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