- EAN13
- 9782709659918
- Éditeur
- Jean-Claude Lattès
- Date de publication
- 11/10/2017
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
De l'absurdité d'être accro au boulot
Petit manuel de survie en entreprise
Annie Kahn
Jean-Claude Lattès
Autre version disponible
-
Papier - JC Lattès 23,90
Il n’a jamais été autant question du « bonheur en entreprise ». Certains
dirigeants déclarent cet objectif comme stratégique. Pas étonnant, car chacun
travaille mieux quand il est heureux. Pourtant, neuf Français sur dix estiment
que l’on souffre davantage au travail aujourd’hui qu’il y a dix ans.
Ce paradoxe n’est qu’apparent. Étant titulaire depuis plus de six ans de la
chronique « Ma vie en boîte » que j’ai créée pour Le Monde, je traque les
travaux des chercheurs en psychologie, sociologie, neurosciences du monde
entier. Dans leurs laboratoires, à Washington, Boston, Pékin, Singapour, Paris
et Toulouse entre autres, ils sont bien souvent inconnus du grand public. En
étudiant leurs travaux, j’ai découvert nombre de paradoxes étonnants et
édifiants dans le monde du travail.
Cet ouvrage rassemble les plus percutants parmi les plus récents, pour :
\- diagnostiquer son chef,
\- réaliser qu’avoir conjoint et enfants est un atout pour progresser,
\- prendre le meilleur de la technologie et résister au pire,
\- connaître ses défauts et en tirer profit,
\- ne pas renoncer à ses idéaux.
On y apprend ainsi que :
\- travailler durant des heures indues est contre-productif, selon Silvia
Bellezza, de la Columbia Business School,
\- les dirigeants sont des toxicomanes… de l’argent. Et comment les
désintoxiquer, selon Jeffrey Pfeffer, professeur à Stanford,
\- plus on donne de son temps, plus on en gagne, selon des chercheurs de
Harvard, Wharton et Yale,
\- le goût du risque est lié au « sex-ratio », soit à la proportion
hommes/femmes dans une équipe,
\- le travail des mères fait le succès des enfants et du couple,
\- et les papas poules améliorent la productivité globale des entreprises pour
n’en citer que quelques-uns.
dirigeants déclarent cet objectif comme stratégique. Pas étonnant, car chacun
travaille mieux quand il est heureux. Pourtant, neuf Français sur dix estiment
que l’on souffre davantage au travail aujourd’hui qu’il y a dix ans.
Ce paradoxe n’est qu’apparent. Étant titulaire depuis plus de six ans de la
chronique « Ma vie en boîte » que j’ai créée pour Le Monde, je traque les
travaux des chercheurs en psychologie, sociologie, neurosciences du monde
entier. Dans leurs laboratoires, à Washington, Boston, Pékin, Singapour, Paris
et Toulouse entre autres, ils sont bien souvent inconnus du grand public. En
étudiant leurs travaux, j’ai découvert nombre de paradoxes étonnants et
édifiants dans le monde du travail.
Cet ouvrage rassemble les plus percutants parmi les plus récents, pour :
\- diagnostiquer son chef,
\- réaliser qu’avoir conjoint et enfants est un atout pour progresser,
\- prendre le meilleur de la technologie et résister au pire,
\- connaître ses défauts et en tirer profit,
\- ne pas renoncer à ses idéaux.
On y apprend ainsi que :
\- travailler durant des heures indues est contre-productif, selon Silvia
Bellezza, de la Columbia Business School,
\- les dirigeants sont des toxicomanes… de l’argent. Et comment les
désintoxiquer, selon Jeffrey Pfeffer, professeur à Stanford,
\- plus on donne de son temps, plus on en gagne, selon des chercheurs de
Harvard, Wharton et Yale,
\- le goût du risque est lié au « sex-ratio », soit à la proportion
hommes/femmes dans une équipe,
\- le travail des mères fait le succès des enfants et du couple,
\- et les papas poules améliorent la productivité globale des entreprises pour
n’en citer que quelques-uns.
S'identifier pour envoyer des commentaires.