- EAN13
- 9782402446884
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Téqui)
- Date de publication
- 1998
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Molière est mort sans héritier mâle à qui léguer sa science et sa passion du
théâtre, et ce fut son grand regret. Mais il eut un fils spirituel : Michel
Baron, un jeune prodige de la scène, et ce fut sa consolation. Ce livre conte
les années d’apprentissage du jeune Baron à L’ombre de Molière. Il nous montre
comment Molière sut discerner chez lui, dès l’âge de treize ans, les qualités
qui devaient faire de lui, au cours des années qui suivirent, l’un des plus
grands, puis le plus grand acteur de son siècle. Baron, s’il eut à souffrir
d’être très tôt orphelin, eut par contre la chance d’être béni des dieux quant
aux qualités qu’il reçut à la naissance. Le jouvenceau qui conquit le public
parisien dès qu’il parut en scène, par sa beauté et son aisance, vit, au fil
des années, ces qualités, bien loin de s’affadir, se développer et s’affermir.
Son intelligence, sa gaieté, son impertinence, sa joie de vivre, furent pour
Molière une source de jouvence et d’optimisme. Elles ensoleillèrent son
existence quotidienne comme l’eut fait près de lui la présence d’un vrai fils.
théâtre, et ce fut son grand regret. Mais il eut un fils spirituel : Michel
Baron, un jeune prodige de la scène, et ce fut sa consolation. Ce livre conte
les années d’apprentissage du jeune Baron à L’ombre de Molière. Il nous montre
comment Molière sut discerner chez lui, dès l’âge de treize ans, les qualités
qui devaient faire de lui, au cours des années qui suivirent, l’un des plus
grands, puis le plus grand acteur de son siècle. Baron, s’il eut à souffrir
d’être très tôt orphelin, eut par contre la chance d’être béni des dieux quant
aux qualités qu’il reçut à la naissance. Le jouvenceau qui conquit le public
parisien dès qu’il parut en scène, par sa beauté et son aisance, vit, au fil
des années, ces qualités, bien loin de s’affadir, se développer et s’affermir.
Son intelligence, sa gaieté, son impertinence, sa joie de vivre, furent pour
Molière une source de jouvence et d’optimisme. Elles ensoleillèrent son
existence quotidienne comme l’eut fait près de lui la présence d’un vrai fils.
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