- EAN13
- 9782402167451
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Albin Michel)
- Date de publication
- 1980
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
« Rassembler en un même récit tant d’impressions et de souvenirs venus
d’horizons si différents devait tenir de la dentellerie brugeoise. Il y avait
bien ce théâtre construit on ne sait comment dans les caves d’un hôtel de
maître, au 26 de la rue Vergote, et puis les stars du Pop Art, et celles du
cinéma américain de l’entre-deux-guerres. Une foule de questions sur l’intérêt
que portait Cocteau à certains boxeurs. Et puis une attirance immodérée pour
l’architecture « modern style », pour le mobilier « Jugendstyle ». Et surtout
pour cette fille superbe qui vint longtemps à la « Muscade » où j’officiais en
tant que barman, et dont la ressemblance avec Françoise Dorléac m’encombra
l’esprit des mois durant. Enfin, les couvertures de Norman Rockwell pour le «
Saturday Evening Post », et bien d’autres choses encore. Le tout sur fond de
ville se cherchant entre Hollywood et Biarritz, entre le désert et l’océan...
» À propos de l’auteur, ajoutons que Villa Mathias est un récit limpide et
nuancé, fin et direct, qui peut se lire en toute naïveté - même si l’on ignore
tout de son arrière-fond culturel (Andy Warhol, Nouveau Journalisme, etc.).
Cela tient à la simplicité d’allure de ce roman, comme au charme nostalgique
et délicat qui s’en dégage d’un bout à l’autre.
d’horizons si différents devait tenir de la dentellerie brugeoise. Il y avait
bien ce théâtre construit on ne sait comment dans les caves d’un hôtel de
maître, au 26 de la rue Vergote, et puis les stars du Pop Art, et celles du
cinéma américain de l’entre-deux-guerres. Une foule de questions sur l’intérêt
que portait Cocteau à certains boxeurs. Et puis une attirance immodérée pour
l’architecture « modern style », pour le mobilier « Jugendstyle ». Et surtout
pour cette fille superbe qui vint longtemps à la « Muscade » où j’officiais en
tant que barman, et dont la ressemblance avec Françoise Dorléac m’encombra
l’esprit des mois durant. Enfin, les couvertures de Norman Rockwell pour le «
Saturday Evening Post », et bien d’autres choses encore. Le tout sur fond de
ville se cherchant entre Hollywood et Biarritz, entre le désert et l’océan...
» À propos de l’auteur, ajoutons que Villa Mathias est un récit limpide et
nuancé, fin et direct, qui peut se lire en toute naïveté - même si l’on ignore
tout de son arrière-fond culturel (Andy Warhol, Nouveau Journalisme, etc.).
Cela tient à la simplicité d’allure de ce roman, comme au charme nostalgique
et délicat qui s’en dégage d’un bout à l’autre.
S'identifier pour envoyer des commentaires.