- EAN13
- 9782402078597
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Triades)
- Date de publication
- 31/12/1991
- Collection
- La Voie ouverte
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Qui était Rudolf Steiner ? Une épopée de l'esprit au 20e siècle
Simonne Rihouët-Coroze
FeniXX réédition numérique (Triades)
La Voie ouverte
Livre numérique
« Voici l’heure où le Dieu dans l’homme se réveille Et se mesure avec les
Dévas créateurs. Le Génie et l’Amour annoncent la merveille : Le feu du ciel
qui tombe aux noires profondeurs. Pour un monde nouveau, l’âme ailée
appareille. Soyez libres, — et vous serez libérateurs ! » Debout, je m’écriai
: « Si la flamme immortelle Qui dompte les humains et fait de l’homme un roi,
Se cache dans ta main, donne-moi l’étincelle ! » Mais il me répondit : «
L’étincelle est en toi ; Fais la jaillir. — J’entends la foule qui m’appelle
Des souffrants sans espoir et des chercheurs sans foi. » Il partit… et je vis
une rose trémière, Où brillait un diamant, éclose à mon chevet. Mais Lui —
marchait déjà dans l’ombre coutumière Sur la route infinie où son pas se
gravait. Derrière lui traînait un sillon de lumière Et, devant lui, l’Aurore
immense se levait. Edouard Schuré Trois dernières strophes du poème «
L’éveilleur ».
Dévas créateurs. Le Génie et l’Amour annoncent la merveille : Le feu du ciel
qui tombe aux noires profondeurs. Pour un monde nouveau, l’âme ailée
appareille. Soyez libres, — et vous serez libérateurs ! » Debout, je m’écriai
: « Si la flamme immortelle Qui dompte les humains et fait de l’homme un roi,
Se cache dans ta main, donne-moi l’étincelle ! » Mais il me répondit : «
L’étincelle est en toi ; Fais la jaillir. — J’entends la foule qui m’appelle
Des souffrants sans espoir et des chercheurs sans foi. » Il partit… et je vis
une rose trémière, Où brillait un diamant, éclose à mon chevet. Mais Lui —
marchait déjà dans l’ombre coutumière Sur la route infinie où son pas se
gravait. Derrière lui traînait un sillon de lumière Et, devant lui, l’Aurore
immense se levait. Edouard Schuré Trois dernières strophes du poème «
L’éveilleur ».
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