- EAN13
- 9782259303828
- Éditeur
- FeniXX rédition numérique (Plon)
- Date de publication
- 1979
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Elle était noble et riche, la voici humble institutrice dans une école de
village. Elle était la femme adulée d’un colonel cosaque, la voici, de par ses
faux papiers, veuve d’un civil. Il lui faut survivre, coûte que coûte, avec
ses deux enfants, dans les décombres de cette Russie qui change de maîtres.
Après l’échec des Blancs et la victoire des Rouges, c’est l’Apocalypse des
sans-Dieu. Les nouvelles étoiles de la terreur bolchevique commencent à
briller, certains personnages historiques jouent leur rôle, comme le futur
maréchal Boudiennyi, ou comme ce commissaire politique au visage porcin, au
prénom familier, au patronyme un jour mondialement célèbre, Nikita
Khrouchtchev. Au-delà des dogmes foudroyants, et des théories aberrantes, la
Sainte-Russie n’est pas tout à fait morte et, parfois, une main secourable se
tendra vers Sophia. Errant dans les ruines fumantes de l’ancien monde, la
jeune femme connaît des aventures extraordinaires, lutte contre la famine, la
peur, la mort, rencontre l’amitié, l’amour, la haine. Paradoxalement, ce
premier volume de "La saga de l’exil" n’est pas exempt d’espoir. La balle dans
la nuque tue les corps, elle ne fait pas disparaître les âmes. Ce beau roman,
qui raconte en filigrane la mort d’un empire, sonne aussi clair qu’un hymne à
la liberté.
village. Elle était la femme adulée d’un colonel cosaque, la voici, de par ses
faux papiers, veuve d’un civil. Il lui faut survivre, coûte que coûte, avec
ses deux enfants, dans les décombres de cette Russie qui change de maîtres.
Après l’échec des Blancs et la victoire des Rouges, c’est l’Apocalypse des
sans-Dieu. Les nouvelles étoiles de la terreur bolchevique commencent à
briller, certains personnages historiques jouent leur rôle, comme le futur
maréchal Boudiennyi, ou comme ce commissaire politique au visage porcin, au
prénom familier, au patronyme un jour mondialement célèbre, Nikita
Khrouchtchev. Au-delà des dogmes foudroyants, et des théories aberrantes, la
Sainte-Russie n’est pas tout à fait morte et, parfois, une main secourable se
tendra vers Sophia. Errant dans les ruines fumantes de l’ancien monde, la
jeune femme connaît des aventures extraordinaires, lutte contre la famine, la
peur, la mort, rencontre l’amitié, l’amour, la haine. Paradoxalement, ce
premier volume de "La saga de l’exil" n’est pas exempt d’espoir. La balle dans
la nuque tue les corps, elle ne fait pas disparaître les âmes. Ce beau roman,
qui raconte en filigrane la mort d’un empire, sonne aussi clair qu’un hymne à
la liberté.
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