- EAN13
- 9782258119635
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Presses de la cité)
- Date de publication
- 1979
- Collection
- Coup d'œil
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
1939-1945 : la Seconde Guerre mondiale. Tout a été dit, ou presque, sur
l'hécatombe sanglante qui endeuilla le monde pendant près de cinq ans. Tout,
oui, mais pratiquement personne ne s'est appesanti sur le sort des enfants. Et
pourtant ! Depuis, les malheureux gosses de l'exode de 1940, mitraillés par
les sinistres Stukas, jusqu'aux gamins écrasés sous les bombardements, en
passant par tous ceux qui périrent atrocement à Oradour-sur-Glane, à Vassieux-
en-Vercors, et dans tous les lieux où se manifesta la terreur nazie, combien
d'innocents ont, ainsi, subi la cruelle épreuve de la guerre ! Et comment
oublier l'horrible génocide des enfants juifs, arrachés à leurs parents,
déportés, cobayes de choix pour les médecins SS de l'enfer hitlérien, disparus
dans l'épouvante des fours crématoires. Dans ce journal, où l'auteur relate,
presqu'au jour le jour, la misère et les souffrances endurées par tous ces
jeunes, où la mort rôde sans cesse, passe le souffle de tous ces milliers de
gosses sacrifiés qui supportèrent hébétés la lutte impitoyable des grandes
personnes. C'est leur détresse quoditienne, leurs frayeurs, leur combat
journalier pour la vie, leurs angoisses, et leur révolte candide, qui sont
décrits dans ce livre qui apporte aussi l'explication du traumatisme psychique
qui bouleversa l'existence des survivants. Le journal d'un J3 s'inscrit comme
un témoignage accablant, dans toute sa naïveté enfantine, mais c'est, avant
tout, un document que doivent lire tous ceux qui recherchent la vérité sur une
époque dramatique.
l'hécatombe sanglante qui endeuilla le monde pendant près de cinq ans. Tout,
oui, mais pratiquement personne ne s'est appesanti sur le sort des enfants. Et
pourtant ! Depuis, les malheureux gosses de l'exode de 1940, mitraillés par
les sinistres Stukas, jusqu'aux gamins écrasés sous les bombardements, en
passant par tous ceux qui périrent atrocement à Oradour-sur-Glane, à Vassieux-
en-Vercors, et dans tous les lieux où se manifesta la terreur nazie, combien
d'innocents ont, ainsi, subi la cruelle épreuve de la guerre ! Et comment
oublier l'horrible génocide des enfants juifs, arrachés à leurs parents,
déportés, cobayes de choix pour les médecins SS de l'enfer hitlérien, disparus
dans l'épouvante des fours crématoires. Dans ce journal, où l'auteur relate,
presqu'au jour le jour, la misère et les souffrances endurées par tous ces
jeunes, où la mort rôde sans cesse, passe le souffle de tous ces milliers de
gosses sacrifiés qui supportèrent hébétés la lutte impitoyable des grandes
personnes. C'est leur détresse quoditienne, leurs frayeurs, leur combat
journalier pour la vie, leurs angoisses, et leur révolte candide, qui sont
décrits dans ce livre qui apporte aussi l'explication du traumatisme psychique
qui bouleversa l'existence des survivants. Le journal d'un J3 s'inscrit comme
un témoignage accablant, dans toute sa naïveté enfantine, mais c'est, avant
tout, un document que doivent lire tous ceux qui recherchent la vérité sur une
époque dramatique.
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