- EAN13
- 9782246719397
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 10/01/2007
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Grasset 23,30
« Simple recueil de textes variés sur le roman ? Non : entreprise raisonnée,
défense et illustration d’une certaine conception du roman, lequel doit être «
l’art de raconter », de mettre en scène des personnages étrangers à l’auteur.
Donc, ni les déballages de l’autofiction, ni les tarabiscotages de
l’expérimentation, mais une manière franche et directe de faire vivre des
hommes et des femmes jetés sur les routes du monde. Une première partie oppose
Stendhal à Flaubert, et montre comment la liberté du premier est préférable
aux efforts laborieux du second. Roman et opéra : comment ils peuvent échanger
leurs procédés. Puis, essais consacrés à des auteurs particuliers, groupés en
deux familles : les « aventuriers », de l’Arioste à Defoe, de Dumas à Kipling,
avec à leur tête le patron du roman d’aventures, Stevenson, l’auteur de L’Ile
au trésor ; et les « narrateurs », qui comprennent, outre Stendhal, des
Français (Balzac, Maupassant, Gide, Martin du Gard, Paul Morand, Simenon,
etc.) et des étrangers (Dickens, les Russes, les Sud-Américains, Thomas Mann,
James Hadley Chase, Primo Levi, Kundera, etc.). L’ensemble forme un manifeste,
un plaidoyer pour les romanciers qui, sans rien abdiquer de l’exigence
littéraire, savent amuser, entraîner, faire rêver le lecteur… » Dominique
Fernandez
défense et illustration d’une certaine conception du roman, lequel doit être «
l’art de raconter », de mettre en scène des personnages étrangers à l’auteur.
Donc, ni les déballages de l’autofiction, ni les tarabiscotages de
l’expérimentation, mais une manière franche et directe de faire vivre des
hommes et des femmes jetés sur les routes du monde. Une première partie oppose
Stendhal à Flaubert, et montre comment la liberté du premier est préférable
aux efforts laborieux du second. Roman et opéra : comment ils peuvent échanger
leurs procédés. Puis, essais consacrés à des auteurs particuliers, groupés en
deux familles : les « aventuriers », de l’Arioste à Defoe, de Dumas à Kipling,
avec à leur tête le patron du roman d’aventures, Stevenson, l’auteur de L’Ile
au trésor ; et les « narrateurs », qui comprennent, outre Stendhal, des
Français (Balzac, Maupassant, Gide, Martin du Gard, Paul Morand, Simenon,
etc.) et des étrangers (Dickens, les Russes, les Sud-Américains, Thomas Mann,
James Hadley Chase, Primo Levi, Kundera, etc.). L’ensemble forme un manifeste,
un plaidoyer pour les romanciers qui, sans rien abdiquer de l’exigence
littéraire, savent amuser, entraîner, faire rêver le lecteur… » Dominique
Fernandez
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