- EAN13
- 9782207109236
- Éditeur
- Denoël
- Date de publication
- 25/04/2012
- Collection
- Médiations
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782207109229
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Tout comme shmok, mentsh est un mot yiddish. Fondamentalement, il signifie
«personne, être humain» et s'applique à tout individu sur terre. Chacun
d'entre nous est une sorte de mentsh : Jean est un mentsh, Marie est un
mentsh, même le petit Léo, occupé qu'il est à tirer la queue de son chien
Farfel, est un mentsh. Farfel, lui, est une victime innocente qui mérite notre
pitié, mais c'est un animal, pas un mentsh. Dans ce sens, nous somme tous des
mentshn, indépendamment de nos aptitudes et de notre comportement. C'est une
simple question de biologie. Mais le mode de pensée yiddish et la biologie ne
font pas bon ménage et cela fait longtemps que mentsh n'est plus utilisé que
pour parler de quelqu'un de bien. «Les autres paieront les pots cassés.» C'est
le genre de sottise qui peut échapper à tout le monde, mais un shmok, lui, en
fait une règle de vie. Et généralement il ne s'en rend même pas compte. Il
faut le comprendre, ce n'est pas sa faute : personne ne lui a expliqué que sa
mère exagérait un peu à l'époque où elle lui expliquait qu'il était le plus
beau, le plus adorable, le plus prometteur et le plus intelligent ; que les
autres, tous les autres, n'étaient que des benêts et des jaloux. Dans ce
livre, Michael Wex nous livre enfin les clés d'une vie réussie, quelles que
soient notre religion ou nos croyances, et nous explique avec une bonne dose
d'humour comment le Talmud et les proverbes yiddish peuvent changer notre
existence.
«personne, être humain» et s'applique à tout individu sur terre. Chacun
d'entre nous est une sorte de mentsh : Jean est un mentsh, Marie est un
mentsh, même le petit Léo, occupé qu'il est à tirer la queue de son chien
Farfel, est un mentsh. Farfel, lui, est une victime innocente qui mérite notre
pitié, mais c'est un animal, pas un mentsh. Dans ce sens, nous somme tous des
mentshn, indépendamment de nos aptitudes et de notre comportement. C'est une
simple question de biologie. Mais le mode de pensée yiddish et la biologie ne
font pas bon ménage et cela fait longtemps que mentsh n'est plus utilisé que
pour parler de quelqu'un de bien. «Les autres paieront les pots cassés.» C'est
le genre de sottise qui peut échapper à tout le monde, mais un shmok, lui, en
fait une règle de vie. Et généralement il ne s'en rend même pas compte. Il
faut le comprendre, ce n'est pas sa faute : personne ne lui a expliqué que sa
mère exagérait un peu à l'époque où elle lui expliquait qu'il était le plus
beau, le plus adorable, le plus prometteur et le plus intelligent ; que les
autres, tous les autres, n'étaient que des benêts et des jaloux. Dans ce
livre, Michael Wex nous livre enfin les clés d'une vie réussie, quelles que
soient notre religion ou nos croyances, et nous explique avec une bonne dose
d'humour comment le Talmud et les proverbes yiddish peuvent changer notre
existence.
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