Fondée en 1927, la librairie Richer met à la disposition de ses clients 95 ans de savoir-faire. Une surface de vente de 1200m2 qui propose un fonds riche en qualité et varié en nombre de références représentant toutes les spécialités de librairie.

Ce que la Chine nous apprend. Sur le langage, la société, l’existence
EAN13
9782072828454
Éditeur
Gallimard
Date de publication
Collection
Bibliothèque des Sciences humaines
Langue
français
Langue d'origine
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Ce que la Chine nous apprend. Sur le langage, la société, l’existence

Gallimard

Bibliothèque des Sciences humaines

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782072828447
    • Fichier EPUB, avec DRM Adobe
      Impression

      Impossible

      Copier/Coller

      Impossible

      Partage

      6 appareils

      Lecture audio

      Impossible

    13.99

  • Aide EAN13 : 9782072828454
    • Fichier PDF, avec DRM Adobe
      Impression

      Impossible

      Copier/Coller

      Impossible

      Partage

      6 appareils

      Lecture audio

      Impossible

    13.99
Ce court texte condense une vie de recherches du grand sinologue français. Il
répond à l’éternelle question de savoir si la Chine représente un "ailleurs"
inaccessible à notre compréhension d’Occidentaux (c’est ce que Foucault
appelait une "hétéro-topie") ou s’il y a une manière de la comprendre qui la
ramène à notre humanité commune. Vandermeersch attaque le problème de trois
côtés : d’abord par ses théories sur le langage, qui, en Chine, dériverait des
pratiques divinatoires, entraînant une séparation complète entre le langage
écrit et le langage parlé, à la différence du langage occidental, indo-
européen, qui fonde la logique aristotélicienne. C’est ce que l’auteur a
développé dans Les deux raisons de la pensée chinoise en 2013. L’auteur passe
ensuite à l’organisation sociale, son apport le plus personnel, fondée sur un
ritualisme qui a été renversé par des formes chinoises de modes de production
très différentes de celles qu’a connues l’Occident. Il complète son approche
par l’analyse de ce qui, en Chine, s’est substitué à la religion, l’absence
d’une coupure entre le monde humain et la transcendance divine. Au contraire,
la Chine a trouvé un accord complémentaire avec le cosmos, que le
confucianisme a théorisé et confirmé.
S'identifier pour envoyer des commentaires.