- EAN13
- 9782707173843
- ISBN
- 978-2-7071-7384-3
- Éditeur
- La Découverte
- Date de publication
- 28/06/2012
- Collection
- REVUE MOUVEMENT (70)
- Nombre de pages
- 164
- Dimensions
- 24,1 x 16 x 1,1 cm
- Poids
- 277 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Revue Mouvements numéro 70 Les droits de la nature
De Revue Mouvements
La Découverte
Revue Mouvement
À l'occasion du sommet Rio +20, Mouvements met en débat nos modes de développement, dans un numéro en trois parties : un bilan critique des conventions issues du sommet de 1992, une exploration des contradictions et tensions propres au mode de développement organisé autour de l'extraction des ressources naturelles, et une discussion d'alternatives telles que les droits de la nature, l'idée (et les politiques) du " bien-vivre ".
En 1992, le sommet de la Terre de Rio avait popularisé la notion de " développement durable ", censé concilier question sociale, respect de l'environnement et croissance économique. Mais sans effet : la biodiversité s'appauvrit, les concentrations de gaz à effet de serre augmentent, les déserts avancent, sur fond d'augmentation des inégalités sociales. Vingt ans après, c'est désormais " l'économie verte " qui est mise en avant : sous prétexte de lutter contre le réchauffement climatique et la perte de biodiversité, il s'agit d'ouvrir de nouveaux marchés, qui permettent de rétablir un capitalisme affecté par la crise économique et financière. Comment ? En soumettant la nature au marché. Mouvements propose une critique argumentée et documentée des mirages de cette " économie verte " et y oppose une vision alternative : celle d'une Nature dont les droits seraient reconnus et défendus.
En 1992, le sommet de la Terre de Rio avait popularisé la notion de " développement durable ", censé concilier question sociale, respect de l'environnement et croissance économique. Mais sans effet : la biodiversité s'appauvrit, les concentrations de gaz à effet de serre augmentent, les déserts avancent, sur fond d'augmentation des inégalités sociales. Vingt ans après, c'est désormais " l'économie verte " qui est mise en avant : sous prétexte de lutter contre le réchauffement climatique et la perte de biodiversité, il s'agit d'ouvrir de nouveaux marchés, qui permettent de rétablir un capitalisme affecté par la crise économique et financière. Comment ? En soumettant la nature au marché. Mouvements propose une critique argumentée et documentée des mirages de cette " économie verte " et y oppose une vision alternative : celle d'une Nature dont les droits seraient reconnus et défendus.
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