- EAN13
- 9782924550663
- Éditeur
- ÉLP éditeur
- Date de publication
- 13/05/2022
- Collection
- Essais et témoignages
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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C’est l’opium du peuple : Philosophie du fait religieux
Paul Laurendeau
ÉLP éditeur
Essais et témoignages
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782924550663
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3.99
Le présent ouvrage propose une analyse athée du fait religieux, dans un angle
philosophique. L’exposé se donne comme exosquelette l’intégralité de la tirade
de l'opium du peuple de Karl Marx. Les trois paragraphes de ce commentaire
célèbre de 1843 ont donc été soigneusement découpés ici en vingt titres de
chapitres qui annoncent autant de segments d'un développement philosophique
homogène sur la religion et la religiosité.
Cet exposé s’adresse au premier chef aux athées, surtout ceux et celles qui
ont le cœur gonflé d’une ardeur irréligieuse, au point d’en avoir mal. Les
gens qui croient à une religion peuvent lire cet ouvrage aussi, bien sûr, mais
ils n’y sont pas ouvertement invités et ils risquent de s’y sentir parfois un
petit peu bousculés. Par moments, ça pète un peu sec... Or l’auteur n’est pas
ici pour ferrailler avec les dépositaires du culte ou leurs ouailles. Ça ne
l’intéresse pas de faire ça. Paul Laurendeau est ici avant tout pour dire ce
qu’il pense, pas pour faire du prêchi-prêcha à rebours. L’ouvrage s’adresse
aussi aux gens qui doutent de leur statut de religionnaire et qui ressentent
un besoin pressant de mettre un peu d’ordre dans leurs pensées, sur cette
vaste question.
Non seulement la religion est l'opium du peuple, mais elle reste, l’un dans
l’autre, un objet d'un grand intérêt intellectuel. Qu'on l'approuve ou qu’on
la réprouve (l’auteur de cet ouvrage est du nombre de ceux qui la réprouvent),
il reste que la religion est un phénomène incontournable de l’histoire
humaine. Aime, aime pas, elle est encore avec nous. Il faut donc encore en
parler.
philosophique. L’exposé se donne comme exosquelette l’intégralité de la tirade
de l'opium du peuple de Karl Marx. Les trois paragraphes de ce commentaire
célèbre de 1843 ont donc été soigneusement découpés ici en vingt titres de
chapitres qui annoncent autant de segments d'un développement philosophique
homogène sur la religion et la religiosité.
Cet exposé s’adresse au premier chef aux athées, surtout ceux et celles qui
ont le cœur gonflé d’une ardeur irréligieuse, au point d’en avoir mal. Les
gens qui croient à une religion peuvent lire cet ouvrage aussi, bien sûr, mais
ils n’y sont pas ouvertement invités et ils risquent de s’y sentir parfois un
petit peu bousculés. Par moments, ça pète un peu sec... Or l’auteur n’est pas
ici pour ferrailler avec les dépositaires du culte ou leurs ouailles. Ça ne
l’intéresse pas de faire ça. Paul Laurendeau est ici avant tout pour dire ce
qu’il pense, pas pour faire du prêchi-prêcha à rebours. L’ouvrage s’adresse
aussi aux gens qui doutent de leur statut de religionnaire et qui ressentent
un besoin pressant de mettre un peu d’ordre dans leurs pensées, sur cette
vaste question.
Non seulement la religion est l'opium du peuple, mais elle reste, l’un dans
l’autre, un objet d'un grand intérêt intellectuel. Qu'on l'approuve ou qu’on
la réprouve (l’auteur de cet ouvrage est du nombre de ceux qui la réprouvent),
il reste que la religion est un phénomène incontournable de l’histoire
humaine. Aime, aime pas, elle est encore avec nous. Il faut donc encore en
parler.
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