- EAN13
- 9782875991607
- Éditeur
- éditions F deville
- Date de publication
- 11/01/2024
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Vivre en copropriété a ses bons et ses mauvais côtés, mais le pire jour de
l’année est sans conteste celui de l’assemblée générale annuelle, celle où
chacun vient chargé de doléances et de colère. Beaucoup s’y taisent et, comme
chez le dentiste, attendent que cela se termine, mais d’autres font de cette
réunion leur terrain de guerre. Cette année, le pire d’entre eux, Marius Van
Eyck, répond aux abonnés absents. Tout le monde s’en étonne et la réunion
s’annonce plus paisible. Pourtant, le calme précède la tempête…
Cette oppression est partout : dans la langue, dans nos productions
artistiques et même dans notre manière de nous déplacer, de nous nourrir, de
nous aimer…
Sous couvert de lutte pour la justice sociale, il pourrait bien s’agir en
réalité d’une nouvelle forme de domination qui n’admet aucune contradiction ni
aucune nuance, certaine de détenir la vérité et d’appartenir au camp du bien.
Si tout cela annonçait, non pas des lendemains qui chantent, mais une
épouvantable régression de la liberté, de l’égalité et de la raison ?
l’année est sans conteste celui de l’assemblée générale annuelle, celle où
chacun vient chargé de doléances et de colère. Beaucoup s’y taisent et, comme
chez le dentiste, attendent que cela se termine, mais d’autres font de cette
réunion leur terrain de guerre. Cette année, le pire d’entre eux, Marius Van
Eyck, répond aux abonnés absents. Tout le monde s’en étonne et la réunion
s’annonce plus paisible. Pourtant, le calme précède la tempête…
Cette oppression est partout : dans la langue, dans nos productions
artistiques et même dans notre manière de nous déplacer, de nous nourrir, de
nous aimer…
Sous couvert de lutte pour la justice sociale, il pourrait bien s’agir en
réalité d’une nouvelle forme de domination qui n’admet aucune contradiction ni
aucune nuance, certaine de détenir la vérité et d’appartenir au camp du bien.
Si tout cela annonçait, non pas des lendemains qui chantent, mais une
épouvantable régression de la liberté, de l’égalité et de la raison ?
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