Le dernier arrêt ? Non, c'est là que tout commence...Après My Dear F***ing Prince, découvrez la nouvelle comédie romantique de Casey McQuiston !
À vingt-trois ans, August s'installe à New York pour échapper à sa mère, avec qui elle entretient une relation compliquée. Cynique et intentionnellement solitaire, elle tombe malgré elle au beau milieu d'un véritable nid de fou : une colocation joyeuse et extravagante, où discussions et fêtes se succèdent. Mais, sceptique, elle ne se laisse pas vraiment toucher par la ville fascinante et insaisissable qu'elle découvre peu à peu.
Et si ce n'était pas déjà assez déroutant, voilà que par un matin de galère, sur le chemin de la fac, elle fait la rencontre d'une certaine Jane qui n'hésite pas à la sortir d'un mauvais pas. August en reste abasourdie : qui est cette fille belle à tomber qu'elle croise et recroise sans cesse sur sa ligne de métro new-yorkais ? En tout cas, la jeune inconnue au blouson de cuir, à la fois mystérieuse et solaire, n'est pas ce qu'elle prétend... Car, là, sur le mur du légendaire diner où August joue les serveuses pour se faire un peu d'argent, le visage de Jane illumine une photo prise... dans les années 1970 ! Comment expliquer ce prodige ?
Après le succès phénomène de My Dear F***ing Prince, découvrez le nouveau roman né de l'imagination de Casey McQuiston ! L'impossible devient possible dans cette histoire belle et émouvante, pleine de cœur et de dialogues étincelants, où se niche une énigme qui fait écho au mystère même de la ville de New York...
Théorie queer et cultures populaires
De Foucault à Cronenberg
De Teresa De Lauretis
La Dispute - SNEDIT
Teresa de Lauretis, figure importante des théories féministes et queer n'est connue en France qu'à travers la première édition aujourd'hui épuisée de ce livre qui rassemble des aspects fondamentaux de sa pensée. De Lauretis a été la première à utiliser le terme « Queer Theory ». Sa fréquentation de Freud, Gramsci, Foucault et Althusser, permet à de Lauretis de montrer le genre comme une représentation construite par des technologies sociales en même temps que subjectives par les individus. À partir de ses conceptions sur le genre, l'auteure a eu une forte influence sur les « cultural studies », en particulier pour le cinéma.
Les humilié.es : 10 ans après la manif pour tous : l'heure du bilan
10 ans apres le mariage pour tous, l'heure du bilan
Le carboulec rozenn
Équateurs
« Une des erreurs fondamentales de ce quinquennat a été d'ignorer une partie du pays qui a de bonnes raisons de vivre dans le ressentiment et les passions tristes. C'est ce qui s'est passé avec le mariage pour tous, où on a humilié cette France-là. Il ne faut jamais humilier, il faut parler, il faut "partager des désaccords ", déclarait Emmanuel Macron à L'Obs à propos du mandat de François Hollande. "Cette France-là", prétendument humiliée, c'était les membres de "La Manif pour tous ". Puisque l'actuel président de la République nous y invitait lui-même, j'ai saisi l'occasion de ce livre pour pointer d'autres "désaccords ", "partager " d'autres points de vue que ceux alors en boucle à la télé. Raconter une autre version de cet "anniversaire", du point de vue des "humilié·es ", les vrai·es. » Il y a dix ans maintenant était promulgué le «mariage pour tous ». Une reconnaissance à l'arrière-goût amer et non sans douleurs pour beaucoup de personnes LGBT, confrontées des mois durant aux cortèges rose et bleu défilant contre leurs droits ; aux tribunes criant à « la fin de notre civilisation» publiées au nom de la liberté d'expression ; aux débats menés en leur absence sur leurs unions, la PMA, l'éducation de leurs enfants. Alors qu'étaient coulées les fondations d'un conservatisme désormais solidement établi, ce moment de bascule aurait dû nous alerter. Aujourd'hui plus que jamais, après l'humiliation, s'impose un nécessaire exercice d'humilité. Journaliste et lesbienne, Rozenn Le Carboulec nous invite à l'introspection sur des débats dont nous pourrions tous et toutes faire, un jour, l'objet - à mesure que sont menacés les droits des minorités - pour mieux s'interroger ensemble sur le modèle de société que nous désirons dessiner
« L’ouvrage que vous avez entre les mains constitue un véritable florilège saphique. Il prend forme autour d’un dialogue entre la poésie et le dessin. Nous avons voulu y impulser l’ébauche d’une allégorie de l’amour saphique, à la confluence de l’art et des plumes de personnes aussi diverses par leurs époques, leurs genres, leurs nationalités et leurs origines sociales. L’idée n’est pas de comparer pour éloigner, mais de tisser des liens pour former une image vivante et stable qui s’ébauche dans le ciel. Chaque étoile unique se met à briller l’une après l’autre. Une constellation. Nous étions tou·te·s là depuis le début. Les désirs se rencontrent et les métaphores se font écho, à plusieurs siècles d’écart. La jouissance des corps et la jouissance de l’écriture condensées dans un livre qui n’avait encore jamais vu le jour. »
Entre catalogue de positions à réaliser avec sa.on partenaire et anthologie poétique saphique, le Kamasutra queer comble un manque criant de représentation des sexualités lesbiennes dans nos imaginaires. Les autrices rendent hommage à un passé oublié, l’inscrivant dans la modernité au fil des pages où les positions illustrées par Lou Dvina accompagnent les textes poétiques recueillis par Leontin Lacombe.
Voici enfin la conclusion de "Tant qu'il le faudra", la saga LGBTQI+ de Cordélia ! N'attendez pas pour vous plonger dans le quotidien des ses personnages ne rentrent pas dans le moule d'une société trop formatée.
Ce qui aurait dû être une célébration pour les membres d'HoMag a tourné à la catastrophe. Depuis, les tensions entre les différents membres n'ont jamais été autant palpables. De son côté, Sen se sent de plus en plus à l'écart du groupe. Medhi et Nathan, chacun à sa façon, essaient tous les deux de se remettre de leur rupture. Tandis que Galahad fait des révélations surprenantes sur son passé...