- EAN13
- 9782846823579
- Éditeur
- P.O.L.
- Date de publication
- 02/2010
- Collection
- Fiction
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782846823579
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
11.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
-
Aide EAN13 : 9782846824637
-
Fichier PDF, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
11.99 -
Fichier PDF, avec DRM Adobe
Autre version disponible
-
Papier - P.O.L. 17,25
Christine Montalbetti raconte neuf petits déjeuners qu'elle a pris, les uns,
dans des circonstances privées, les autres, dans des contextes
institutionnels, avec quelques écrivains. Ces récits constituent des hommages
discrets et délicats à ces auteurs, dont le portrait n'est jamais appuyé, mais
seulement esquissé, presque fantomatique. Car ces textes s'inquiètent (et
s'amusent) de notre fascination pour ce tout ce qui est «people» et qui hante
le discours contemporain. Ils interrogent, implicitement ou dans un jeu
explicite, notre curiosité, et les motivations de cette attente. Jouant avec
notre désir, Christine Montalbetti, comme les personnages de ses Nouvelles sur
le sentiment amoureux aime à pratiquer l'esquive. Les écrivains traversent ces
petits déjeuners comme des présences douces, et le récit s'attache bien plutôt
à saisir des états intérieurs, au travers de ces narrations, variées,
contemplatives, humoristiques ou mélancoliques, et qui convergent vers un
petit déjeuner dans un hôtel japonais qui se laisse furtivement gagner par le
fantastique. Slalomant sur la difficile frontière entre ce que l'on révèle et
ce que l'on retient, Christine Montalbetti fait aussi de ces Petits
déjeuners... l'occasion d'un autoportrait ténu, dispersé, fragile.
dans des circonstances privées, les autres, dans des contextes
institutionnels, avec quelques écrivains. Ces récits constituent des hommages
discrets et délicats à ces auteurs, dont le portrait n'est jamais appuyé, mais
seulement esquissé, presque fantomatique. Car ces textes s'inquiètent (et
s'amusent) de notre fascination pour ce tout ce qui est «people» et qui hante
le discours contemporain. Ils interrogent, implicitement ou dans un jeu
explicite, notre curiosité, et les motivations de cette attente. Jouant avec
notre désir, Christine Montalbetti, comme les personnages de ses Nouvelles sur
le sentiment amoureux aime à pratiquer l'esquive. Les écrivains traversent ces
petits déjeuners comme des présences douces, et le récit s'attache bien plutôt
à saisir des états intérieurs, au travers de ces narrations, variées,
contemplatives, humoristiques ou mélancoliques, et qui convergent vers un
petit déjeuner dans un hôtel japonais qui se laisse furtivement gagner par le
fantastique. Slalomant sur la difficile frontière entre ce que l'on révèle et
ce que l'on retient, Christine Montalbetti fait aussi de ces Petits
déjeuners... l'occasion d'un autoportrait ténu, dispersé, fragile.
S'identifier pour envoyer des commentaires.