- EAN13
- 9782402095129
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Médialogue)
- Date de publication
- 1981
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Charlemagne est, d’après les sondages récents, le personnage de l’histoire de
France le plus cher au cœur des Français. Et pourtant que sait-on de lui ?
A-t-il, comme on le dit, inventé l’école ? Pas vraiment, même s’il lui a donné
une forte impulsion. Avait-il « une barbe fleurie » ? Pas du tout, une
moustache tout au plus. Faisant litière des légendes, Jean-Yves Boulic,
journaliste et féru d’histoire, s’est attaché à rassembler dans cette très
vivante biographie tout ce que l’on sait de vérifiable sur le seul personnage
à avoir régné sur l’Europe sans laisser le souvenir d’une tyrannie. Certes,
Charlemagne n’était pas un non violent et il passa une partie appréciable de
son temps à arpenter son empire à la tête de ses armées pour lutter contre les
Saxons, les Avars, les Basques, Byzance… Mais, malgré tout, il était
bienveillant et… amendable : quand son ami Alcuin lui faisait valoir que les
conversions forcées n’étaient peut-être pas la meilleure façon de répandre la
foi chrétienne, il en tenait compte. Si bien qu’en définitive son influence
fut profondément civilisatrice. Et il y a aussi l’homme privé, tout à fait
attachant, avec sa soif de connaissances, sa simplicité, son goût de la vie de
famille, même si celle-ci n’était pas véritablement fondée sur une stricte
monogamie !
France le plus cher au cœur des Français. Et pourtant que sait-on de lui ?
A-t-il, comme on le dit, inventé l’école ? Pas vraiment, même s’il lui a donné
une forte impulsion. Avait-il « une barbe fleurie » ? Pas du tout, une
moustache tout au plus. Faisant litière des légendes, Jean-Yves Boulic,
journaliste et féru d’histoire, s’est attaché à rassembler dans cette très
vivante biographie tout ce que l’on sait de vérifiable sur le seul personnage
à avoir régné sur l’Europe sans laisser le souvenir d’une tyrannie. Certes,
Charlemagne n’était pas un non violent et il passa une partie appréciable de
son temps à arpenter son empire à la tête de ses armées pour lutter contre les
Saxons, les Avars, les Basques, Byzance… Mais, malgré tout, il était
bienveillant et… amendable : quand son ami Alcuin lui faisait valoir que les
conversions forcées n’étaient peut-être pas la meilleure façon de répandre la
foi chrétienne, il en tenait compte. Si bien qu’en définitive son influence
fut profondément civilisatrice. Et il y a aussi l’homme privé, tout à fait
attachant, avec sa soif de connaissances, sa simplicité, son goût de la vie de
famille, même si celle-ci n’était pas véritablement fondée sur une stricte
monogamie !
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