- EAN13
- 9782371191525
- Éditeur
- PIRANHA
- Date de publication
- 20/10/2016
- Collection
- Incertain futur
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Papier - PIRANHA 17,90
Sept cents ans après la victoire d’Hitler, le Saint Empire germanique a soumis
la moitié du monde à l’idéologie nazie. La nouvelle société, empreinte de
mythologie et d’ignorance, repose sur une stricte hiérarchie : les chevaliers
et les nazis en occupent le sommet, tandis que les étrangers servent de main
d’œuvre servile et les femmes, uniquement des tinées à la perpétuation de la
race, sont réduites à l’état animal. Lorsqu’Alfred, mécanicien anglais en
pèlerinage en Allemagne, est impliqué dans une rixe, il est conduit devant le
chevalier von Hess, gouverneur du comté. Séduit par sa personnalité, von Hess
ne tarde pas à lui révéler un secret qui le bouleverse. Mais la connaissance a
un prix : celui du sang.Inconnue du public français, Katharine Burdekin
(1896-1963) est l’une des rares écrivains britanniques à dénoncer, aux travers
de romans d’anticipation, l’idéologie phallocrate de l’Angleterre des années
1930. Swastika Night, dont c’est ici la première traduction en français, fut
publié en 1937 sous le pseudonyme de Murray Constantine. Peu après Le Meilleur
des mondes d’Aldous Huxley et bien avant le célèbre 1984 de George Orwell,
cette dystopie sur l’anéantissement de l’individu, aux accents féministes,
demeure étrangement prémonitoire.
la moitié du monde à l’idéologie nazie. La nouvelle société, empreinte de
mythologie et d’ignorance, repose sur une stricte hiérarchie : les chevaliers
et les nazis en occupent le sommet, tandis que les étrangers servent de main
d’œuvre servile et les femmes, uniquement des tinées à la perpétuation de la
race, sont réduites à l’état animal. Lorsqu’Alfred, mécanicien anglais en
pèlerinage en Allemagne, est impliqué dans une rixe, il est conduit devant le
chevalier von Hess, gouverneur du comté. Séduit par sa personnalité, von Hess
ne tarde pas à lui révéler un secret qui le bouleverse. Mais la connaissance a
un prix : celui du sang.Inconnue du public français, Katharine Burdekin
(1896-1963) est l’une des rares écrivains britanniques à dénoncer, aux travers
de romans d’anticipation, l’idéologie phallocrate de l’Angleterre des années
1930. Swastika Night, dont c’est ici la première traduction en français, fut
publié en 1937 sous le pseudonyme de Murray Constantine. Peu après Le Meilleur
des mondes d’Aldous Huxley et bien avant le célèbre 1984 de George Orwell,
cette dystopie sur l’anéantissement de l’individu, aux accents féministes,
demeure étrangement prémonitoire.
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