- EAN13
- 9782072879838
- Éditeur
- Joëlle Losfeld
- Date de publication
- 24/10/2019
- Collection
- Le roman d'un acteur
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Joëlle Losfeld 25,00
'Ce texte de La Belgique a été établi d'après les films des spectacles qu'a
réalisés Bernard Dartigues en 1994, lors de leurs dernières représentations au
Théâtre de l'Athénée. Comme celui de L'âge d'or, première partie du Roman d'un
acteur, il est très différent de ce qu'il était aux premières. Il n'a cessé
d'évoluer au cours des multiples représentations. Ce que je livre aujourd'hui
est le produit et le résultat de cette espèce d'expérimentation littéraire,
cet atelier d'écriture naturel que ces dernières ont cnstitué, en dehors de
leur aspect purement théâtral, éphémère et ludique. Je me suis appliqué à
rester au plus près du texte filmé, c'est-à-dire "oral", en le nettoyant
parfois, mais le moins possible. La seule liberté d' écriture que je me suis
donnée est celle des didascalies ; je voulais vraiment que le lecteur "voie"
ce que je voyais quand je jouais. Ce que je vois quand je joue. On dit souvent
du théâtre que c'est un "art vivant" ; jamais peut-être cette définition
n'aura été plus appropriée qu'ici.' Philippe Caubère.
réalisés Bernard Dartigues en 1994, lors de leurs dernières représentations au
Théâtre de l'Athénée. Comme celui de L'âge d'or, première partie du Roman d'un
acteur, il est très différent de ce qu'il était aux premières. Il n'a cessé
d'évoluer au cours des multiples représentations. Ce que je livre aujourd'hui
est le produit et le résultat de cette espèce d'expérimentation littéraire,
cet atelier d'écriture naturel que ces dernières ont cnstitué, en dehors de
leur aspect purement théâtral, éphémère et ludique. Je me suis appliqué à
rester au plus près du texte filmé, c'est-à-dire "oral", en le nettoyant
parfois, mais le moins possible. La seule liberté d' écriture que je me suis
donnée est celle des didascalies ; je voulais vraiment que le lecteur "voie"
ce que je voyais quand je jouais. Ce que je vois quand je joue. On dit souvent
du théâtre que c'est un "art vivant" ; jamais peut-être cette définition
n'aura été plus appropriée qu'ici.' Philippe Caubère.
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